Tiré de « jerusalem » de yotam ottolenghi
Pour le cake : 80 g de marmelade d’oranges 90 g de semoule de blé 9 cl d’huile de tournesol 45 g de farine ordinaire 35 g de noix de coco séchée 1 cuillère à soupe de poudre d’amandes 35 g de sucre en poudre 12 cl de jus d’orange ou de clémentine 2 oeufs entiers moyens 1 cuillère à café de levure chimique le zeste râpé d’une orange non traitée Pour le sirop : 7 cl d’eau 100 g de sucre semoule 1 cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger
Préchauffer le four à 180°C. Beurrer et recouvrir de papier cuisson un moule à cake de 30 cm.
Dans un saladier, mélanger au fouet les oeufs avec le sucre et ajouter la marmelade d’orange, le jus d’orange mélangé à l’huile et le zeste d’orange. On doit obtenir un mélange plus ou moins homogène et la confiture doit être dissoute.
Dans un saladier mélanger les ingrédients secs, puis les ajouter au premier saladier et bien mélanger. La préparation sera alors liquide.
Verser la préparation dans le moule et enfourner pendant 40 minutes environ (la pâte doit gonfler, devenir souple, dorée et en enfilant la pointe d’un couteau, celui-ci doivent ressortir pratiquement sec).
Peu avant la fin de la cuisson, préparer le sirop : porter à ébullition l’eau avec le sucre jusqu’à ce que ce dernier se dissolve. Éteindre et ajouter l’eau de fleur d’oranger.
Sortir le cake, et badigeonner le sirop chaud avec un pinceau. Procéder en plusieurs fois en laissant le cake imbiber le sirop pendant deux minutes avant d’en remettre. Laisser légèrement tiédir et démouler délicatement.
Le gâteau se conserve parfaitement pendant 4 jours minimum et se bonifie même avec le temps. On peut le servir avec un peu de yaourt grec, du fromage blanc arrosé d’eau de fleur d’oranger ou encore un boule de glace vanille …
Pour une fois, la pâte crue du gâteau n’est pas succulente et peut rebuter certains. L’odeur qui s’en dégage n’est pas formidable non plus. Mais le gâteau cuit est très bon, et fait généralement l’unanimité. Papa n’a cependant pas aimé la texture que donne la semoule.